Prénom : Arsbom
Nom : Nhasttec
Surnom : Ombre
Âge : 19 ans
Sexe : Masculin
Origine : Humain
Métier : Voleur la nuit, serrurier le jour
Statut : Célibataire
Histoire :
Mon histoire ? Vous intéresse t-elle vraiment ? Ou est-ce seulement votre esprit pervers qui vous pousse à toujours vouloir connaître les petits secrets de vos camarades ? Enfin, si l'objet de votre perversité à une situation sociale similaire ou meilleur que vous... Alors soit... voici les grandes lignes de ma petite vie si intéressante pour alimenter vos potins.
Ce dont je me souviens... Cette grande ville... qu'elle était son nom déjà ? Oh et puis je m'en fiche, elle m'importe peu...
Tiens, je vois dans vos yeux que vous mourrez d'impatience de savoir pourquoi... Ces gens riches, imbu de leurs personnes toujours pareil. Mais bon, je ne veux pas me souvenir.
Cette ville peuplée de bourgeois gras et bedonnant ne pensant qu'à boire et manger. Un petit sans abri mourant ? Peu leurs importaient sauf si bien sûr, cela devait se passer devant l’une de leurs somptueuses villas avec autant de pièce que les espaces vides de leurs cerveaux...
Oh ? Je vous choque ? Bien... tant pis alors il faudra passer outre si vous voulez avoir de quoi nourrir vos séances café.
Alors donc, cette ville... oui je la haïssais je ne demandais qu'à partir mais... je ne le pouvais pas. Ce n'était pas un problème d'argent, je n'étais pas pauvre, j'avais juste de quoi pouvoir vivre correctement avec et pour Elle. Ma petite affaire, marchait bien. J'avais tout du parfait petit commerçant, souriant devant ces bourgeois, tellement bête, voulant toujours sécuriser leurs villas qui étaient victimes d'une série de vols inexpliqués... Ah ? Je ne vous ai pas dis que j'étais serrurier ? Et bien, maintenant c'est dit. Comment je fonctionnais ? C'était tellement simple.
Je leurs vantais que mes serrures étaient inviolable. Avec une garantie de remboursement si le voleur arrivait à la forcer... Car oui, il faut le signaler... ce voleur était fort, très fort, il arrivait à passer outre mes serrures, cadenas les plus sophistiqués. Ainsi donc, je devais souvent les rembourser... Mais j'arrivais toujours à les convaincre que mes systèmes étaient de mieux en mieux. Que seules certaines clefs pouvaient les déverrouiller... Seulement voilà, IL arrivait toujours à les contourner, sans les forcer... il passait devant tels … une ombre...
Tellement qu'il avait gagné le surnom d'Ombre...
Ah... ce bon vieil Ombre... il coulait mon commerce mais en même temps... il me faisait vivre.
Tiens ? Vous n'avez toujours pas compris ? Ne me dites pas que vous êtes aussi bêta que les habitants des beaux quartiers ? Cela ne vous parait pas étrange que malgré Ombre, mon commerce continuait à vivre ? Et que nous aussi ? Si cela ne vous a pas choqués … vous ne valez pas mieux qu'eux.
Bon aller, vous avez de la chance, je suis de bonne humeur, je vais vous dire mon secret : Ombre, c'était moi, oui Arsbom Nhasttec n'était rien d'autre que le voleur talentueux. C'était peut-être tellement évident pour certain d'entre vous.
Ainsi, je coulais ma petite vie tranquillement, ne pensant qu'à partir mais... le voulais-je vraiment ? Le pouvais-je vraiment ? Partir seul... Quitter cette ville sans intérêt... Et la laisser seule ? Non je ne pouvais pas y penser. Elle... si fragile, si faible. Non je ne devais pas me permettre de la laisser. Elle qui m'a accompagné dans ce moment dur de ma si pitoyable vie. Elle m'a réconforté... Me donner la douce lumière qui me manquait... Vous connaissez le proverbe : « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » ? Et bien voilà... Tout est dit sur moi.
Quoi ? Vous en voulez encore ? Vous savez que vous m'ennuyer à la longue ? C'est bien parce-que je n'ai rien d'autre à faire.
Je vois dans vos yeux que cela vous intrigue, pourquoi malgré elle, je suis ici à vous parler de moi... C'est simple. Elle est partie, seule, un jour de neige, elle commençait juste à tomber, le soleil se couchait. A ce moment, je m'étais absenté pour... me faire payer... . Elle, parti jouer comme une enfant, elle qui adorait la neige, ne pouvant résister à ce temps si magnifique devant ces yeux. Enfin, je le crois, je l'espère... Les heures passèrent, puis je revins chez nous, notre salaire en poche. Tout heureux je l'appelais... pas de réponse... Je retentais... toujours rien... Je me mis à la chercher dans la maison craignant le pire, et là, arrivant dans sa chambre...
Son lit était fait, rangé, les placards étaient vides... Ses décorations, ses fleurs, tout ce qu'elle aimait, appréciait, que je lui avais offert, rien, il ne restait rien. Rien sauf un mot et un médaillon, que je connaissais bien. Apeuré, je courrais lire ce mot, rempli de crainte, de doute, d'anxiété. Son écriture un peu dyslexique, sa manière d'écrire, un peu en italique inversé, ses tournures de phrases... Oui c'était elle qui avait écrit ce mot. Ce qu'il disait ? Pourquoi vous le dirais-je ? Je n'en ai que trop dit sur moi. Tout ce que je peux vous dire c'est, que j'avais compris. Je fis comme elle, ramassant mes affaires, prenant mes outils, fermant la porte à tout jamais. Oui, cette nuit là d'hiver, je devins libre... libre de cette ville, je pu la quitter. Sans remord ? Non, c'était ainsi, Arsbom Nhasttec serrurier de renom, voleur d'exception, fuyait, laissant son ancienne vie derrière lui et parti quelque part, ne sachant pas où mais quelque part, le médaillon trônant fièrement sur son torse.
Caractère : Ombre, un personnage n'ayant pas sa langue dans sa poche, s'il n'aime pas quelqu'un, il lui fait comprendre. Froid et distant, la glace qui l'entoure ne fond jamais. Mais qui sait ce qu'une ombre montre vraiment ?
Apparence : **Va arriver plus tard**
Aime : La solitude
Le moment du crépuscule au début de l'aube
Errer dans les rues la nuit
Son pendentif
Regarder la neige tomber
N'aime pas :
Les gens riches
Les orgueilleux
Le jour
La période où le jour rallonge jusqu'à devenir interminable
Regarder la neige tomber
Signe(s) particulier(s) : Il porte toujours un pendentif que seul lui ai le droit d'ouvrir pour voir ce qu'il cache. Mais il ne le fait que très rarement. Il répète toujours cette phrase qui est un peu son crédo « Je ne suis qu'une Ombre qui passe. »