Prénom : Laly
Nom : Plione
Surnom : /
Âge : 14 ans
Sexe : ♀
Origine : Humain
Métier : Enfant
Statut : Célibataire
Histoire : Par une superbe nuit étoilée, deux enfants vinrent au monde, deux jumelles. Malheureusement, le bonheur s'arrêtait déjà pour ces deux innocentes victimes de la vie, car leur mère venait d'échanger sa vie contre la leur et leur père était décédé peu après sur le champ d'honneur. Il ne leur restait pour seule famille que deux vieilles tantes. Ces deux personnes, deux sœurs avec 5 ans de différence, n'étaient guère apprécier des autres. Pour certain, l'on disait d'eux qu'elles étaient le diable incarnée, car elles répandaient toujours tristesses, colères et désespoir après leur passage. Laly et sa sœur, Sinaphisie, grandirent donc dans une affreuse et vieille maison qui rappelle souvent aux passants celle des histoires d'horreurs de leur enfance. Ce fut des années horriblement douloureuses pour ces deux soeurs dont leurs punitions ne se résumaient que par un mot : des coups. Des coups de bâtons pour l'impolitesse, des coups de ceintures pour le retard, des coups, des coups, encore et toujours des coups. Lorsque les deux orphelines allaient au marché, les habitants les regardaient avec tristesse et pitié, ils savent tous ce qui se passait dans cette maison et nul n'osait adresser la parole aux "victimes". Jusqu'au jour où, ou plutôt une nuit, Laly se trouva dans sa chambre Ses tantes les avaient surprises, elle et Laly, à essayer de sortir par la fenêtre pour tenter de s'enfuir. Pour y remédier, elles avaient décider de séparer les deux jumelles. Elle ne savait pas trop où se trouvait sa soeur, mais bon, elle espérait qu'elle s'en sortait plus où moins aussi bien qu'elle...
Ayant marre de servir leurs tantes, les deux soeurs s'appliquèrent à amasser le plus d'informations possible sur le monde qui les entourent à la bibliothèque, leurs tantes leurs ont appris à écrire et à lire à l'aide de coups bien sûr.
Une nuit, les sœurs furent fin prêtes et elles sortir de chez leurs tantes après avoir verser un somnifère puissant dans chacun de leurs verres et rédiger une lettre d'adieu à tous ceux qui les avaient aidé d'une quelconques manière. Direction l'inconnue, mais surtout la liberté, enfin elles l'espèrent…
Avançant toujours tout droit au rythme de la météo plus que capricieuse en cette saison, les deux sœurs arrivèrent rapidement à un village assez accueillant. Elles entrèrent dans une auberge bondée et demanda à avoir une chambre et un repas. Malheureusement, elle n'avait pas d'argent sur elles et proposa de faire la vaisselle en échange. Il accepta volontiers et retourna d'où il venait. Sur le chemin qui menait jusqu'à leur chambre, Laly se fit agripper par un saoul puant et mal rasé. Sinaphisie et elle hurlaient en cœur à l'homme de la lâcher, mais nul ne vint en aide. Par contre, d'autres vinrent attraper la sœur encore libre. Et, agissant avec la panique, les deux sœurs se défendirent comme jamais, blessant méchamment ici et là à l'aide de fourchette et de cruche d'eau leurs adversaires. Jusqu'au moment où l'un d'eux pointa une lame extrêmement coupante devant leur nez. Heureusement pour elle, l'aubergiste intervint, tel un ange gardien, en mettant dehors les "agresseurs" et laly et sa soeur purent se coucher plus ou moins tranquille.
Elles se levèrent au chant du coq, une grosse pile de vaisselles les attendait dans l'évier, ainsi qu'un bon petit déjeuné sur la table. Après avoir tout laver, ranger et manger, l'aubergiste vint avec la proposition de leur apprendre à manier des armes pour que l'incident de la veille ne se reproduise plus. Celui-ci les hébergea et les conseilla comme un père. Après un an, il n'avait plus rien à leur apprendre, elles devraient voir quelqu'un de plus expérimenté que lui dans cet art. Ce fut donc à l'âge de 12 ans et quelques mois qu'elles reprirent leur chemin, la larme à l'œil.
Leur chemin était celui des cours d'eau et du gibier et après longtemps, très longtemps et de nombreuses rencontres, elles arrivèrent en vue d'immenses chaînes de montagnes. Elles entrèrent dans un village où les regardaient avec méfiance. Elle y restèrent pendant très longtemps et furent réputer pour être serviable, mais malgré tout pas si inoffensives comme certains le croient. Alors qu'elles allaient reprendre une nouvelle fois leur route, on leur raconta de ne pas continuer leur voyage, de faire demi-tour, mais tout cela leur était traduit comme d'abandonner leur liberté si durement gagnée. Et, ça elles ne le voulaient pour rien au monde. Les habitants leur expliqua alors que le village là-bas est maudit, que nul n'est jamais revenu et que grand nombre de personnes avaient ainsi disparus sans laisser la moindre trace de leur passage si ce n'est celle du souvenir laisser dans le cœur des proches.
Rien ne pouvaient faire changer d'avis les deux enfants et elles partirent donc la tête pleine d'histoire effrayante sur le village qu'elles ne tardèrent pas à apercevoir. Au fond d'une vallée, caché en partie par les deux imposantes montagnes, se trouvait le village dit Maudit. Une nouvelle vie pour les deux sœurs…
Caractère : Laly est du genre meneuse et protectrice envers sa soeur, tout en ayant apris à manier larme, elle s'est aussi forger un caractère, elle n'est plus la petite fille naïve, ni celle qui joue la bonne et qui se laisse faire, elle est devenue têtue, franche, et déteste se faire marcher sur les pieds. Quand on la connait bien on découvre qu'elle peut être drôle et beaucoup moins réservé qu'elle ne laisse paraitre, Laly s'énerve facilement...
Apparence : Laly est de taille moyenne, elle a de longue jambes fines, tout comme ses bras, elle est mince. Ses long cheveux si blond, qu'ils parraissaient blanc, encadrait son visage allongée. Elle a un menton pointu, des petites lèvres, un petit nez aquilin, des grands yeux bleu légèrement en amande et des grandes oreilles pointues ou pendent des boucles d'oreilles. Laly a des mains fines, mais puissantes, tout comme ses jambes qui peuvent l'amener d'un endroit à l'autre rapidement.
Aime : Rire, les défis, ses amis, sa soeur, le risque.
N'aime pas : Ses tantes, les gens égoïstes, qu'on lui dicte sa conduite sans raison apparente, les gens qui l'énerve facilement.
Signe(s) particulier(s) : /